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Quand une relation de travail devient trop coûteuse

À qui s’adresse cet espace

Cet espace s’adresse à un manager qui vit une relation professionnelle tendue avec un collègue direct – hiérarchique ou non – avec lequel il doit pourtant collaborer pour atteindre ses objectifs.

 

Cette relation génère chez lui de la tension : boule au ventre, crispation, fatigue anticipée.
Malgré ses efforts, il constate que certaines de ses réactions ou maladresses ne font que renforcer la difficulté.

 

Ce manager ne cherche pas à faire changer l’autre à tout prix.
Il souhaite prendre l’initiative à partir de lui, en travaillant sur ce qu’il vit, ce qu’il perçoit et ce qu’il peut ajuster pour influencer autrement la relation.

Quand une relation devient coûteuse

Une relation professionnelle devient problématique non pas seulement à cause des faits, mais par ce qu’elle provoque intérieurement.

 

Les signaux les plus fréquents sont :

l’envie d’éviter la relation ou certains échanges

la rumination avant ou après les interactions,

une tension corporelle pendant les discussions,

une tendance à généraliser (« il est toujours comme ça », « avec lui, c’est impossible »).

Même si, objectivement, tout semble aller, le coût intérieur, lui, est bien réel.

Ce que nous travaillons

Ce que nous ne travaillons pas

Dans cet espace, nous travaillons sur :

le contexte précis de la relation,

les ressentis et les signaux corporels (boule au ventre, crispation),

progresser sans s'ajouter de la charge de travail

les perceptions construites sur l’autre et sur la situation,

ce que cette relation apporte aussi, même si cela est difficile à voir,

la réalité de la communication : mots utilisés, fréquence, non-dits, attentes implicites.

L’objectif n’est pas d’avoir raison, mais de voir plus juste.

Ce que nous ne travaillons pas:

Nous ne cherchons pas à :

justifier ou excuser les comportements de l’autre,

juger, critiquer ou analyser la personnalité de l’autre,

désigner un responsable ou un coupable,

construire des stratégies d’évitement,

dire quoi faire à votre place.

Ce que vous pouvez attendre concrètement

À l’issue de ce premier pas, même si la relation n’a pas encore changé extérieurement, vous pouvez attendre :

une réduction de l’appréhension liée à cette relation,

une image plus nuancée de l’autre,

des idées de manières d’interagir différentes, plus ajustées,

une sensation de fierté d’avoir osé regarder la situation autrement, voire tenté quelque chose de nouveau.

Le succès n’est pas de « régler » la relation, mais de ne plus en être prisonnier intérieurement.

Quand ce n’est pas le bon moment

Cet espace n’est pas adapté si :

vous êtes convaincu que tout le problème vient uniquement de l’autre, sans nuance,

vous cherchez une recette ou une technique pour faire changer quelqu’un,

la relation n’est que le symptôme d’un malaise plus large
(perte de sens, difficulté personnelle majeure) qui demande un autre type d’accompagnement.

Dans ces situations, ce premier pas ne serait ni juste, ni utile.

Le premier pas, concrètement

Vous venez avec une relation précise et une situation professionnelle identifiable.

Nous prenons un temps :

pour explorer ce qui fait réellement souffrir dans cette relation,

pour exprimer les ressentis et les difficultés sans jugement ni pression,

pour prendre du recul, respirer, et sortir des automatismes.

Vous repartez avec :

une lecture plus claire de ce qui se joue,

un apaisement intérieur perceptible,

et des pistes d’actions différentes de « faire plus de la même chose ».

Si vous envisagez de tester ce premier pas, un échange court permet de vérifier ensemble si c’est le bon cadre pour votre situation.

Cet échange ne constitue pas une séance de travail.
Il permet simplement de vérifier si cette situation peut être abordée dans ce cadre.