Pression des résultats, exigences contradictoires, manque de reconnaissance…
À cela s’ajoutent parfois des relations difficiles, des tensions répétées, des décisions qui coûtent de plus en plus d’énergie.
Progressivement, le rôle de manager commence à interroger.
Le doute s’installe.
Le plaisir disparaît sans bruit.
L’épuisement gagne du terrain.
Ce n’est ni un manque de compétences, ni un défaut de résilience.
C’est souvent le signe d’un déséquilibre qui s’est construit au fil du temps.
Face à ces situations, la réponse la plus courante consiste à chercher à mieux faire : se former davantage, renforcer sa posture, tenir encore un peu.
Ces réponses peuvent aider ponctuellement. Elles atteignent toutefois vite leurs limites.
Car une partie de ce que vit un manager ne vient pas seulement du contexte, des autres ou des contraintes.
Elle vient aussi de la manière dont les situations sont perçues, de ce qui est important pour soi, et de la façon dont on se positionne dans son rôle.
La solution ne passe alors ni par une approche théorique, ni par une analyse psychologique.
Elle commence par des ajustements concrets, ancrés dans le quotidien, directement applicables sur le terrain.
L’approche P21 repose sur un principe simple : lorsqu’un déséquilibre s’installe, ajouter des méthodes ou multiplier les efforts n’est pas toujours la réponse la plus efficace.
Mon travail consiste à identifier les points de tension invisibles qui influencent les décisions, les relations et la posture managériale, puis à accompagner des ajustements concrets, adaptés à la réalité du terrain industriel.
Cette approche vise à restaurer de la clarté, de l’énergie et de la justesse dans le rôle de manager, sans recettes toutes faites, ni modèles à imiter.
Les 12 ajustements constituent le socle des accompagnements P21.
Ils offrent une grille de lecture pour comprendre ce qui se joue dans les situations managériales du quotidien, et identifier les points d’appui sur lesquels agir en priorité.
Ce ne sont ni des outils à appliquer, ni des solutions toutes faites, mais des repères pour ajuster sa posture, ses décisions et ses relations, en fonction de la réalité du terrain.
Entrer en échange, c’est prendre un temps pour parler de ce que vous vivez dans votre rôle de manager.
Sans engagement, sans diagnostic lourd, sans modèle à appliquer.
Juste un échange pour voir si quelques ajustements pourraient faire la différence dans votre situation, et décider librement de la suite.
Parfois, ce n’est pas d’en faire plus qui fait la différence.
C’est d’ajuster ce qui compte vraiment.
Philippe Tanguier
Ostéopathe du management – Performance 21